Un as dans la manche

Au cumul des deux derniers exercices fiscaux, les casinotiers français voient leur produit brut des jeux (PDJ) reculer de 20 %. Dans le seul domaine des jeux, le casino Barrière de Royan n’échappe pas à la tendance baissière.

Gilles Vergy ne s’en inquiète pas outre mesure, pourtant.

L’établissement qu’il dirige depuis un an se tient loin des – 9 % affichés globalement par la profession «et, fait historique, nous sommes cette année devant le casino de La Rochelle».

«Nous avons eu la chance de voir la fréquentation du casino se maintenir cet été, grâce à un afflux touristique global que Royan n’avait plus connu depuis peut-être dix ans», admet Gilles Vergy.

Cet été notamment, la table à 500 euros a très bien fonctionné.

Les dîners dansants sont revenus au premier rang des animations du casino.

Segmentant, dans son concept initial, le Xobam l’était peut-être trop.

Rouvert en lieu et place de l’ex-Tropicana et ex-Scotch, le bar de nuit du casino se voulait «lounge», ambiance détendue très tendance.

Le concept n’a pas donné entière satisfaction, son ouverture, réduite à 4 heures, non plus.

Pour endiguer la chute des revenus liés strictement aux jeux, 100 casinos français, principalement des groupes Barrière et Émeraude, ont lancé en septembre dernier leur botte secrète : un jackpot progressif reliant 331 machines à sous. Source

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