Claire Diterzi en rouge

La DanceRouges, les ongles des mains qui glissent sur le corps du danseur. Rouges, les mots de Rosa Luxembourg qui parlent de liberté, de socialisme, de révolution. Rouge, le sang versé dans l’Allemagne du début du XXe siècle. Rouges aussi, les bottes de Claire Diterzi et l’écharpe chiffonnée sur laquelle elle incline sa belle tête de femme rebelle.

Le jour où Marcial Di Fonzo Bo a proposé à Claire Diterzi – sa complice de «La estupidez» au Théâtre national de Chaillot – de raconter Rosa Luxembourg en chantant, elle a d’abord dit non.

Puis elle a réfléchi et s’est immergée, pendant deux mois, dans la biographie et les textes de la grande révolutionnaire allemande.

On n’avait encore jamais vu, sur une scène, une «réincarnation» de ce style pour évoquer une figure historique.

Claire a composé la musique, travaillé à l’écriture du spectacle avec Marcial, à partir de textes de l’écrivain Leslie Kaplan.

La réalisation des images en vidéo a été confiée à Patrick Volve. Source

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