La périodicité des tempêtes imprévisible

L’occurrence de 10 000 ans d’un phénomène comme Xynthia, évoquée par le Bureau des recherches géologiques et minières avait été mal comprise.» Selon Rodrigo Pedreros et son équipe du BRGM (1), les conclusions du rapport préliminaire sur la tempête du 28 février («Sud Ouest du 21 avril) ont été mal interprétées.

Une phrase notamment, prêtait à confusion «Si on extrapole le niveau de 4,5 mètres NGF (2) atteint à La Rochelle, cela correspondrait à une période retour proche de 10 000 ans».

Mais elle ne faisait que remettre en question la validité des méthodes statistiques pour calculer la fréquence possible d’un tel phéno- mène en la rendant farfelue.

Le BRGM n’a pas d’outils statistiques et n’a pas calculé la période de retour de l’événement Xynthia», poursuit Rodrigo Pedreros en précisant d’ailleurs ce qu’est «une période de retour» : «Si elle est de 100 ans, cela indique qu’elle a une chance sur 100 de se reproduire chaque année.

A Brest, nous pouvons remonter jusqu’au XVIIIe siècle.

Nous ne pouvons transposer l’historique brestois sur les côtes charentaises. Source

Suivez-nous et aimez-nous :

Vous pouvez également aimer

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

RSS
Follow by Email