Patrimoine : la batterie de Chef-de-Baie reste imprenable

Après avoir acquis et restauré le château médiéval de Saint-Jean-d Angle pour lequel il a reçu le grand prix des Vieilles maisons françaises, avoir investi dans la rénovation des châteaux de la Guyonnière à Beauvais-sous-Parthenay (79) et La Guignardière à Avrillé (85), l’ancien propriétaire du musée Grévin du cours des Dames et restaurateur rochelais Alain Rousselot lorgne désormais vers la batterie de Chef-de-Baie.

Je l’ai baptisée Aspro pour qu’on retienne bien son nom.

Aspro pour Association de Sauvegarde du Patrimoine rochelais.

L’idée du bouillonnant investisseur, c’est de retrouver le rempart du XVe siècle, rénover la batterie pour en faire des pièces éducatives, voir un espace muséographique, construire une «grange» à réunions pouvant recevoir jusqu’à 500 personnes.

Il rêve d’en faire son dernier défi de bâtisseur restaurateur.

Tout d’abord promis à la Ligue pour la protection des oiseaux afin d’y installer son centre de soins pour oiseaux mazoutés (1), les deux hectares de terrain qui entourent la batterie, haut lieu historique de la défense de La Rochelle, seront finalement vendus au Département grâce aux fonds de la taxe départementale des espaces naturels sensibles.

Lui s’intéresse à la maîtrise foncière des grands espaces, nous des petits.

Acquisition par un organisme public pour que les terrains restent dans le domaine du public et soient protégés en tant que tel.

Et ce, d’autant que le Conseil général dispose également des terrains voisins, jusqu’à la tour carrée. Source

Suivez-nous et aimez-nous :

Vous pouvez également aimer

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

RSS
Follow by Email