Le panorama se mérite

Mercredi matin, 11 heures, le rendez-vous est fixé sous le clocher porche de la cathédrale Saint-Pierre. Au programme : la (re) découverte de cet imposant édifice visible à plusieurs kilomètres à la ronde. La visite ne s’annonce pas de tout repos. Comme l’agenda de «Sud Ouest» le conseillait, je me suis déplacé avec de bonnes chaussures, sans vraiment savoir pourquoi. Dans l’entrée du monument historique, Frédérique Herbec, guide conférencière, salariée de l’Office de tourisme, accueille les clients.

Derrière cet accès, apparaissent les premières marches du fameux escalier en colimaçon qui devrait nous permettre de dépasser la cime des arbres, et de rejoindre les nuages.

Le souffle devient haletant, le rythme du coeur s’accélère, et la douleur commence à se faire sentir dans les mollets.

Au début de la saison, il faut reprendre l’habitude. J’ai l’impression de perdre un cran de ceinture.

Plus la fin se rapproche, plus les graffitis de différentes époques sont nombreux : «Rouault, 1706, Burgaud, 1807» Comme si les anciens visiteurs connaissaient les mêmes besoins de récupération que nous, après plus de 150 marches franchies.

Peu importe, la guide profite du panorama pour retracer l’histoire et l’évolution de la cité santone. S



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