De l’eau moins douce mais moins chère à Saintes

Depuis le 27 septembre, la société Résina y a posé ses valises, avec pour mission de ravaler tout l’extérieur de l’édifice, de refaire l’étanchéité de la cuve intérieure et de remettre aux normes la serrurerie. Le chantier, d’un coût d’environ 200 000 euros pour la ville, doit s’étaler sur dix semaines.

C’est la première fois qu’une telle intervention est programmée sur ce château d’eau vieux d’une quarantaine d’années et dont la cuve, avec sa capacité de 1 500 mètres cubes, est la plus importante de la ville.

Trois châteaux d’eau (Boiffiers, Beaulieu et Saint-Rémy) stockent à Saintes de l’eau provenant de la résurgence de Lucérat et traitée par la station de Diconche.

«Pour des raisons techniques, il sera impossible de produire de l’eau adoucie pendant les dix semaines de travaux», informe Jacques Bertot, le directeur adjoint des services techniques de la ville, qui tient à préciser que l’eau va, bien entendu, rester potable.

«Nous allons tenir compte de cette modification temporaire du mode de traitement de l’eau», confirme Frédéric Mahaud, l’adjoint au maire en charge du dossier.

Les abonnés vont gagner un peu plus de 2 euros sur les dix semaines que va durer le chantier du château d’eau des Boiffiers. S



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