Une plus grande terrasse pour regagner du terrain

Son état de santé est scruté chaque année avec un soin intéressé par la municipalité. Même frappé de plein fouet par la crise, le casino reste un bailleur de fonds de poids pour la commune. Entre le versement du loyer, la contribution à l’effort culturel de la ville – obligatoire et inscrite dans le cahier des charges de la délégation de service public – et la copieuse part qui lui est réservée sur le produit des jeux, la commune va encaisser cette année encore quelque 2 500 000 euros grâce au casino Barrière de Pontaillac.

Son propre directeur, Gilles Vergy, est le premier à regretter que le casino ne soit en mesure de verser davantage encore à la Villle.

Donner plus signifierait avoir gagné plus au cours du dernier exercice fiscal. Or, le produit brut des jeux (PBJ) n’est pas reparti pas à la hausse l’année dernière encore.

Bon an mal an, cette fois encore, l’établissement royannais s’en sort moins mal que nombre de casinos du département.

Il est plus ouvert qu’il ne l’était, mais on ne peut pas encore parler de totale mixité. Ni plus ni moins que la cohabitation dans l’espace des tables de jeux – poker, black-jack, roulette – et des «bandits manchots». S






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