La transhumance a de l’avenir

Dès 9 heures, quatre troupeaux se sont échelonnés au départ du Gué, en direction du marais communal, distant de six kilomètres.Il s’agissait pour Rémy Mouche, président de l’association Transhumance du Gué-d Alleré, de reconstituer le parcours que suivait autrefois les éleveurs et leur bétail entre la commune et son marais communal.

Devenus propriété indivisible des communes à la Révolution française, les marais communaux sont toujours mis à la disposition des éleveurs du territoire qui en font la demande.

Devant le marais sur lequel s’ébattaient déjà les vaches, une vaste esplanade du marais en fête avait été installée et proposait plusieurs animations.

Notamment une exposition sur les races locales sauvées de la disparition (vaches maraîchines, chèvre poitevine à la robe cape de maure, baudet du Poitou, mule poitevine, oie blanche du Poitou, poule de Marans), des cartes postales anciennes, la confrérie du Brûlot charentais, les croqueurs de pommes, des produits du terroir, des démonstrations de chiens de bergers, etc. S



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