Il n’y a plus de saison, ma bonne dame, même pour les soldes. Il suffit de jeter un coup d’oeil aux vitrines des boutiques du centre-ville ou le long des galeries des grandes zones commerciales de l’agglomération. Elle est tellement liquide qu’elle ferait oublier la longue période de sécheresse de 2011. S’il permet aux chalands d’assouvir leur soif de consommation, un tel débit fait bouillonner les voisins d’enseigne qui «jouent le jeu».
Nous avons de véritables spécialistes de la liquidation. Chaque année, sous prétexte d’un changement d’enseigne, de panneaux, de travaux quelconques, ils liquident.
M. Marchand, le bien nommé gérant des deux boutiques Burton, pour hommes et femmes, rue des Merciers, clame sa bonne foi.
Pour la couleur, nous attendons, car notre première proposition a été refusée par la mairie.Des exemples d’abus, Frédéric Chekroun peut en citer plusieurs, même s’il s’abstient de donner des noms.
Pour le président de la SCR, le responsable de cette situation a un nom : loi de modernisation de l’économie de François fillon. Elle a institué les soldes flottants, qui sont une catastrophe. S
