Un remède de cheval pour le centre équestre

cheval_de_traitLa métaphore est sans doute plus ferroviaire qu’équestre mais, selon Jean-Claude Stoffaës, elle résume parfaitement la situation quand il est arrivé aux commandes de la régie du Centre équestre du Maine-Gaudin, en juillet 2010.Le directeur de la régie a, par ailleurs, séparé le restaurant Le Ranch du centre équestre pour en confier la gestion à un privé.«Daniel, en tant que directeur, peut donc se consacrer entièrement à la partie hippique», explique Jean-Claude Stoffaës, qui a mis sur pied avec lui des animations et des projets «générateurs de chiffre d’affaires».

Par ailleurs, nous avons davantage de chevaux en pension ; tout cela permet des rentrées d’argent.

Même si le but n’est pas de réaliser des bénéfices dignes d’une entreprise commerciale, il s’agit de gérer au plus juste.

«Quand je suis arrivé, en 2010, la régie était dans une situation très précaire, qui aurait pu conduire n’importe quelle entreprise privée à un dépôt de bilan» Le directeur a présenté à la sous-préfecture un compte déficitaire de 87 300 euros.

«Je suis donc parti dans une logique d’assainissement des comptes, sans sombrer dans des emprunts faciles», note-t-il en soulignant que son prédécesseur à ce poste – qu’il se garde bien de nommer pour éviter la polémique – avait souscrit pour «1,2 million d’emprunts, dont certains toxiques, entre 2005 et 2009, sans tenir vraiment compte des besoins du club». S



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