Des pointes aux claquettes

Elles arrangent leurs chignons, ajustent les collants et tentent de retrouver leurs chaussons dans un joyeux brouhaha de sortie des cours. À quelques jours du premier spectacle de l’année, les cris et l’agitation qui règnent ici ne sont pas dus au trac. Les Petits Rats de Marie-Laure Vincent, professeur de danse classique, «sont toujours très contentes de monter sur scène». Quelques réglages de dernière minute et la chorégraphie des petites (6-12 ans) est au point.

C’est vrai qu’il y a une image de rigidité mais j’apprécie plutôt. Et puis les chorégraphies se sont modernisées.

À l’autre bout de la ville, un groupe de garçons, cette fois-ci, s’entraîne. Loin des collants et bodies de même couleur, les apprentis danseurs de hip-hop ont enfilé leurs plus belles baskets et de confortables survêtements.

Les cinq élèves de Magali Lefay apprennent les derniers pas pour le spectacle à venir. La musique, elle aussi, est bien différente, plutôt de celles qui vous font marquer le rythme malgré vous de la tête ou des pieds.

Après le maintien et la grâce, c’est ici une explosion d’énergie, de gestes vifs et rapides.

Danseuse de classique depuis toujours, Marie-Laure Vincent se souvient d’une chorégraphie crée avec des danseurs contemporains et hip-hop. S



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