Quand les cow-boys mettent pied à terre

Quand en 2005 il a créé la West Quarter Horse Association 17, Jean-François Ayoul n’imaginait pas qu’il serait obligé de mettre son association en sommeil seulement sept ans plus tard. Sport officialisé il y a peu de temps – il a été reconnu par la Fédération française d’équitation en 2006 – mais qui se pratique déjà depuis plusieurs années, l’équitation western ne cesse de se développer partout en Europe.

Alors pourquoi cette mise en sommeil d’une discipline pourtant prometteuse?

Tout simplement que l’association ne demande plus de cotisations à ses adhérents et ne sollicite plus de subventions auprès de la mairie, étant dans l’incapacité de proposer des entraînements dignes de ce nom ou encore d’organiser des concours.

À l’heure actuelle, le centre équestre de Maine Gaudin (c’est le terrain vert qui ne sert qu’une fois par an pour le Jumping International), deux carrières – une appelée à être refaite, l’autre inondée dès qu’il pleut – et enfin un manège.

Par exemple, nous avons financé l’achat d’une herse pour entretenir les sols.

Un équipement qui faisait défaut au centre équestre et qui nous a coûté environ 7 000 euros, financés depuis sept ans par l’organisation de démonstrations ou de stages.

Proposer des concours de haut niveau permettrait de gagner un peu d’argent, mais aussi de faire connaître notre discipline et le centre.

Comme toutes les autres associations du centre, d’ailleurs. S



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