Festival international du film de La Rochelle

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Photo PC
Gilles Duval et Séverine Wemaere se sont rencontrés à l’occasion de la restauration du film de Jacques Tati, «Les Vacances de monsieur Hulot». Depuis, au lieu de poursuivre, chacun pour son compte, le même travail dans le même but, le directeur de la fondation Groupama Gan pour le cinéma et la directrice de la fondation Technicolor pour le patrimoine du cinéma font cause commune. Si le public du 40e Festival du film de La Rochelle a la chance de découvrir aujourd’hui «Lola», le film culte de Jacques Demy, dans d’excellentes conditions – version restaurée -, c’est grâce à eux.

«Nous avons travaillé sur une copie bas contraste, quasi vierge, retrouvée à Londres, et à partir de cet élément, nous avons recréé un négatif», raconte Gilles Duval.

«Même si la pellicule est toujours en danger, elle constitue le meilleur support pour conserver un film», ajoute le spécialiste.

Il y a un grand intérêt du public pour cette mémoire du cinéma.

Le cinéma, c’est sur grand écran, et en public.

Il n’existe que quatre fondations au monde dédiées à la conservation du patrimoine cinématographique : deux aux États-Unis, créées par Martin Scorcese, et deux en France.



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