Le jumping international de Royan

Le jumping international de Royan a ceci de comparable au Violon sur le sable qu’il attire autant les puristes que les béotiens. Les premiers, au centre équestre du Maine-Gaudin, seront attentifs à des détails techniques qui y échapperont aux seconds, pour qui l’événement se pose en magnifique spectacle. Autre trait commun aux deux manifestations : puristes comme béotiens piaffent d’impatience à l’approche du rendez-vous.

Au Maine-Gaudin, les bénévoles de la Somecob, organisatrice du jumping international, s’affairent à achever l’habillage de la grande carrière du centre équestre, préservée depuis fin mars de toute compétition, pour ménager cette aire engazonnée de 7 000 mètres carrés qui fait la réputation du concours de sauts d’obstacles international (CSI) de Royan auprès des cavaliers.

Évidemment, Jeux olympiques obligent, l’élite concourra à Londres, en même temps, d’ailleurs, que le jumping de Royan.

«Mais il reste d’excellents cavaliers qui, malheureusement pour eux, ne sont pas qualifiés pour les Jeux et qui seront parmi nous», souligne Jean-Paul Matrat, le président de la Somecob.

Pour ne citer qu’elle, Eugénie Angot sera fidèle au jumping, auréolée d’un récent titre de vainqueur de la coupe des Nations à Aix-la-Chapelle (Allemagne) avec l’équipe de France. S



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