La Palmyre : Sport et nature

C’est l’histoire d’un rêve, d’un rêve éveillé, d’un rêve devenu réalité. Printemps 2009, dans la baie de Bonne-Anse, Laetitia Guillaud et son moniteur de planche à voile font une pause sur une bande de sable fin. En embrassant du regard le site exceptionnel, la jeune femme et son collègue de la base nautique imaginent une épreuve sportive d’ampleur.

Six mois plus tard, 25 équipes (formées de trois athlètes) débarquent au premier raid aventure de la Palmyre. Dossards, récompenses, panneaux de signalétique encombrent son bureau.

De Douarnenez, Nantes, Tours, Bordeaux et d’ailleurs.

«On a même dû refuser 22 équipes», explique la jeune femme qui veut laisser l’épreuve grandir à son rythme.

En attendant, c’est la quatrième édition qui l’accapare totalement.

Bonne nouvelle : partenaires privés et collectivités ont apporté un soutien logistique et financier.

À quelques heures du coup de feu, l’organisatrice sent monter l’adrénaline.

Mais sur deux parcours moyenne (22 km) et longue distance (33 km).

Les premiers pourraient franchir la lignée d’arrivée sur les coups de 15 heures.

L’épreuve de VTT, sur des chemins plus ou moins carrossables, s’annonce redoutable.

Ceux qui répondent à côté perdent des points.

La journée s’achève par une grande fête à la Palmyre.

Laetitia Guillaud pourra alors définitivement laisser retomber la pression.

C’est vrai que c’est du stress, mais on a que des bons retours.

Les athlètes sont contents, même ceux qui galèrent un peu pendant les épreuves.

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