Leur ville dans l’œil d’Arnaud Valli

Arnaud Valli, en bon photographe, est adepte du contraste.L’an dernier, avec «Royan, histoire de femmes», il avait opposé sur une même image les courbes féminines et les lignes souvent droites de l’architecture locale des années 1950.Pour mieux sublimer les unes et les autres.

Je reste dans cet esprit, puisque Royan reste la toile de fond de cette série, à cette différence près que je m’attaque cette fois aux jeunes.

Des jeunes, dans son activité professionnelle, au Carel, Arnaud Valli en côtoie quotidiennement.

Il les croise aussi, lorsqu’il lui prend l’envie de «shooter» surfeurs ou skateurs, entre autres sujets d’inspiration pour lui.

Photographie des jeunes, soit, mais pourquoi, comment, où?

Fidèle, là encore, à la démarche qui avait guidé sa première série, Arnaud Valli a construit sa série «Royan, histoire de jeunes» sur les mêmes fondamentaux, techniques et artistiques : le parti pris de tirages en noir et blanc, au même format de 50 par 70 cm, comme une signature, et surtout, toujours, le décalage.

Que la majorité des seniors ne prenne pas ombrage du recours au terme «décalage» pour qualifier une série de photographies montrant des jeunes à Royan.

Le décalage, Arnaud Valli le provoque dans sa mise en situation desdits jeunes.

Arnaud Valli a également photographié des musiciens, des sportifs, un comédien.

Il répugne toutefois à citer d’autres exemples.

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