Sa cote ne se dément pas

C’est dire la cote dont jouit notre épreuve», apprécie Jean-Paul Matrat, président de la Somecob depuis dix-sept ans.Mi-juillet, près de 60 cavaliers français avaient fait leur demande d’engagement au Jumping international de Royan.Au nom toutefois du caractère de ce CSI***, par définition «concours de sauts d’obstacles international», les organisateurs veillent rigoureusement à respecter la parité entre participants français et étrangers.

On retrouvera dans cette sélection française les grands noms rompus aux grands rendez-vous internationaux et, pour la plupart également, au Jumping de Royan.

Épreuve sportive de très haut niveau, le CSI*** de Royan ne ferme jamais la porte ni aux jeunes chevaux qui brilleront sur le circuit, ni aux cavaliers amateurs.

Cette formule, par équipes, a été imaginée par des organisateurs de concours.

Un facteur viendra peut-être ajouter un sel supplémentaire à cette 37e édition du Jumping de Royan : la chaleur.

En véritables athlètes, les chevaux de concours devront s’en accommoder.

Mais ils y parviendront d’autant mieux que le Maine-Gaudin offre des conditions que lui envient nombre de concours : «Un écrin de verdure, au milieu de la forêt donc très ombragé», rappelle Jean-Paul Matrat.

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