Le boulevard de Lattre-de-Tassigny dans l’esprit retenu par Royan.Du côté de Royan, notamment, pour tout ce que nous avons demandé, nous avons obtenu satisfaction dans 90 % des cas.Ceci dit», promet le président des Amis du Parc, «je ne demande pas l’impossible non plus.L’énumération quasi exhaustive des souhaits ou demandes spécifiques de l’association montre en effet que ces sollicitations portent essentiellement sur des améliorations du cadre de vie dans le quartier et au niveau de sa façade, le boulevard Garnier, à Royan, qui devient boulevard de Lattre-de-Tassigny côté Saint-Georges.
Cette «vitrine», comme aime à la qualifier Didier Quentin, le député-maire de Royan, a subi dans sa plus longue partie – royannaise – une réhabilitation profonde de ses espaces dédiés aux piétons et cyclistes.Il y aurait une harmonisation esthétique avec les travaux réalisés à Royan, lorsqu’ils seraient lancés côté Saint-Georges, en 2015 »
Ce dossier de la réhabilitation du boulevard bordant la Grande Conche et Vallières constituait, jusqu’à ces récentes nouvelles, l’une des préoccupations principales des quelque 450 familles que représente l’association, dont 320 à jour de cotisation.
Oublié, provisoirement en tout cas, le projet d’allongement de la digue du bac Royan-Le Verdon.
Principale crainte : un éventuel envasement de la Grande Conche, au détriment du confort des baigneurs.
Après les avenues de Vallières, Émile-Zola et du Docteur-Charcot, le tour viendra pour l’axe reliant les avenues du Rond-Point et l’Atlantique, sur près de 500 mètres, d’être traité à son tour.
