Ils sortent un nouvel album. Pour le financer, ils se sont tournés vers le site de financement participatif My Major Company. Six titres assez longs pour découvrir l’univers particulier de ce groupe saintais dont la base de répétitions se situe à l’espace Saint-Eutrope. Entre un rock progressif, mélodieux, un peu sombre, et le post-rock, pas facile de les mettre dans une case.
«C’est rock, en tout cas», pointe Benoît Jibertaud, à la basse. Avec lui, le groupe se constitue d’Antoine Viguié au clavier et à la vidéo, de Julien Ben Simhon au chant et à la guitare, de Yoann Bordet, également guitariste et chanteur, et de Mickaël Hillairet à la batterie.
Les cinq amis venaient de formations différentes, jusqu’au jour où ils ont été «des musiciens sans groupe fixe».
Sans parole, la musique est encore plus évocatrice. Cette chanson a été présentée au musée de la ville de Haute-Vienne.
Hollow Child a de l’ambition, avec notamment sur scène de plus en plus de présence vidéo.
Mais alors que rien n’est simple aujourd’hui pour les groupes locaux, les cinq amis restent motivés.
La musique désormais, c’est presque du producteur au consommateur.
résumé du Sudouest
