Sous l’aile des parrains

Sous l’aile des parrainsSous l’aile des parrains, le dispositif en chiffres. Stéphanie a un enfant, 26 ans, une petite entreprise naissante et des citations plein la tête. L’opération vise à aider les 16-25 ans restés au chômage, malgré leurs diplômes, à prendre pied sur le marché du travail en décrochant un CDD assez long, une formation qualifiante et, pourquoi pas, un contrat à durée indéterminée.

René Falanga fait partie des 142 parrains qui ont accepté, en 2013, d’accompagner 172 jeunes sur une durée de six mois en leur faisant profiter de leur connaissance des rouages et mécanismes du monde de l’entreprise.

Après avoir été le directeur régional d’une grande entreprise de la sidérurgie, il s’est essayé à la création d’entreprise avant d’oeuvrer pour le Conseil général des Deux-Sèvres.

«C’est devenu une vraie passion», révèle-t-il. Une expérience particulièrement riche dont le retraité désormais Charentais-Maritime a fait un livre, «Un parrain» (1), et dont profite pleinement Stéphanie Leprince.

Une jeune femme titulaire d’une licence en graphisme et communication au profil atypique dans le dispositif, puisqu’elle est en quête d’un emploi mais aussi désireuse de créer sa propre entreprise.

Mis en relation par la Mission locale du Pays Vals de Saintonge et Saintonge romane, le parrain et sa filleule ont commencé à travailler sur ce projet voilà un an.

La société se propose de faire tous travaux de graphisme, de la simple édition de cartes de visite à la mise en forme d’outils commerciaux ou multimédia.

Un test démarre dans la région de Saint-Jean-d Angély. Stéphanie Leprince décroche ainsi six premiers contrats, pour un chiffre d’affaires de 1 080 euros qui reste modeste.

Résumé art alain babaud de Sudouest



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