Car une écotaxe a été instituée, de façon à donner aux insulaires les moyens de défendre leur environnement face à l’afflux massif et sans cesse croissant de visiteurs : 3,2 millions de véhicules ont franchi le pont en 2010.
Cette île si fragile et que Léon Gendre, maire de La Flotte, craignait de voir «assassinée» par le pont dans les années 80, aurait pu être à la merci d’une entrée encore plus massive si, comme cela s’est fait pour l île d’Oléron, on avait purement et simplement retiré les péages sitôt la dernière mensualité versée.
Cette fameuse écotaxe, baptisée Cap Ré, sera donc plus précisément consacrée à la gestion et la restauration des milieux naturels, les aménagements de mise en valeur d’espaces remarquables, la mise en place de transports à énergie propre et d’écogardes pour surveiller les sites fragiles et la réalisation d’études liées à l’environnement.
Sur les 12 millions d’euros que devrait rapporter chaque année ce péage vert, la moitié sera entièrement consacrée à ces missions, l’autre moitié restant réservée à l’entretien de l’ouvrage et de son péage.
Parce qu’à Rivedoux, première commune traversée par les automobilistes, si on est d’accord sur le principe de l’écotaxe, on est vent debout contre les tarifs adoptés.
Rien n’est fait pour encourager les transports en commun en facilitant, entre autres, le passage des autocars et rien n’est fait pour dissuader les voitures individuelles d’emprunter le pont.
Les 90 pompiers du centre et de l'ouest de la France qui sont arrivés lundi…
À l'issue d'un débat public de cinq mois réunissant plus de 15 000 participants, les…
Alors que des milliers d'estivants sont attendus ces prochaines semaines sur ce petit croissant de…
«Nous sommes déjà en plein milieu de la 7ᵉ vague en Charente-Maritime». C'est le bilan…
Qui a terminé en première position en Charente-Maritime lors du second tour des élections législatives…
Qui est majoritaire en Charente-Maritime lors du premier tour des élections législatives 2022 ? En…